mercredi 26 juillet 2017

Tu es poussière et tu retourneras en poussière



Extrait de « Préparation à la mort » de Saint Alphonse de Liguori :






PREMIÈRE CONSIDÉRATION



Portrait d'un homme mort depuis peu de temps


« Tu es poussière et tu retourneras en poussière » (Genèse 3, 19)





PREMIER POINT

Considérez que vous êtes poussière, et que bon gré mal gré, vous retournerez en poussière. Oui, un jour viendra où vous devrez mourir, puis être descendu dans une fosse et là devenir la proie des vers qui vous couvriront tout entier. Pour vêtement, dit Isaïe, tu n'auras que les vers du tombeau (Isaïe 14, 11). Nobles et gens du peuple, princes et sujets, tous subiront le même sort. À peine sortie du corps avec le dernier souffle de vie, l'âme ira dans son éternité et il ne restera plus au corps qu'à se réduire en poussière. Vous enlèverez l'esprit qui les anime et ils retourneront dans leur poussière (Psaume 103, 29).

Imaginez-vous avoir sous les yeux le corps d'un homme qui vient de rendre l'âme. Considérez ce cadavre étendu sur ce lit. Voyez cette tête qui tombe sur la poitrine, ces cheveux en désordre et baignés encore des sueurs de la mort, ces yeux enfoncés, ces joues décharnées, ce visage livide, cette langue et ces lèvres aux teintes noirâtres, ces membres inertes et glacés ! À cette vue, tous pâlissent et s'épouvantent.

Combien de pécheurs qui, en présence du cadavre d'un parent ou d'un ami, ont changé de vie et quitté le monde !

Quelle horreur plus grande encore quand ensuite commence la corruption ! Il n'y a pas vingt-quatre heures que ce jeune homme est mort, et déjà l'infection se déclare. Il faut ouvrir les fenêtres, brûler beaucoup d'encens ; et, de crainte que toute la maison ne s'infecte, vite on arrange tout pour envoyer le mort à l'église et le porter en terre. C'est le cadavre d'un noble, d'un riche, eh bien ! « il n'en exhalera qu'une odeur plus repoussante » dit un auteur (S. Ambroise, Hexameron, 1, VI, c. 8, n. 51, PL 14, 263).

Le voilà donc cet orgueilleux, ce voluptueux. Voilà ce qu'il est devenu. Hier, on l'accueillait, on se le disputait dans toutes les sociétés ; aujourd'hui, on ne le voit plus qu'avec horreur et dégoût. Aussi sa famille s'empresse-t-elle de l'éloigner. Les porteurs sont commandés ; et, chargeant sur leurs épaules la bière qui le renferme, ils s'en vont le jeter dans une fosse. Naguère on vantait partout son esprit, sa courtoisie, ses belles manières, l'enjouement de sa conversation ; hélas ! Il est à peine mort et déjà sa trace disparaît : « Leur souvenir s'est éteint avec le bruit qu'ils ont fait » (Psaume 9, 7).

Voyez comment on accueille la nouvelle de sa mort. C'était, disent les uns, un homme fort considéré. Il laisse, disent les autres, une maison bien établie. Ceux-ci s'attristent parce que, de son vivant, il leur était utile. Ceux-là se réjouissent, parce que sa mort sert leurs intérêts.

Du reste, il ne sera bientôt plus question de lui. Et tout d'abord, ce sont ses proches parents eux-mêmes qui ne veulent plus en entendre parler, pour ne pas renouveler leur douleur. Dans les visites de condoléances, on s'entretient de toute autre chose ; et s'il échappe à quelqu'un de parler du défunt, de grâce, lui dit-on, ne prononcez plus son nom devant moi.

Pensez-y ; ce que vous avez fait, quand sont morts vos amis et vos proches, on le fera quand vous mourrez. Les vivants paraissent sur la scène pour y jouer leur rôle, et prendre les biens et les places des morts.

Quant aux morts, on n'en tient plus compte, on n'en fait plus ou presque plus mention. Vos parents seront d'abord affligés. Mais leur douleur ne durera guère et, bientôt consolés, grâce à la part d'héritage qui leur sera échue, ils se réjouiront de votre mort ; et dans cette même chambre où vous avez rendu l'âme et où Jésus Christ vous aura jugé, on dansera, on mangera, on jouera et on rira comme auparavant. Et votre pauvre âme, où se trouvera-t-elle alors ?


AFFECTIONS ET PRIÈRES

Ô Jésus, mon Rédempteur, soyez béni de ne m'avoir pas fait mourir, quand je me trouvais dans votre disgrâce ! Depuis combien d'années ne devrais-je pas souffrir au fond des enfers ? Ah ! Seigneur, quelles actions de grâces je vous rends !

Afin d'expier mes péchés, j'accepte ma mort ; et je l'accepte telle qu'il vous plaira de me l'envoyer. Mais, puisque vous m'avez attendu jusqu'à cette heure, attendez-moi encore un peu. « Laissez-moi, un moment, donner libre cours à ma douleur » (Job 10, 20). Oui, avant que vous ayez à me juger, donnez-moi le temps de pleurer les offenses dont je me suis rendu coupable envers vous. Je ne veux plus résister à votre choix. Et qui sait, si, dans cette méditation, vous ne venez pas de m'adresser votre dernier appel ?

Je ne mérite point de pitié, je l'avoue, moi qui tant de fois ai reçu mon pardon et qui tant de fois ensuite me suis montré si ingrat en recommençant à vous offenser. Mais, « Seigneur, vous ne méprisez jamais un cœur contrit et humilié » (Psaume 50, 19). Puisqu'il en est ainsi, voici un pécheur, un traître qui vient, poussé par le repentir, se jeter à vos pieds. « De grâce, ne me rejetez pas de devant vous ». Vous l'avez dit vous même : « Je ne rejetterai pas celui qui vient à moi » (Jean 6, 37).

À la vérité, je suis plus coupable que les autres ; car plus que les autres, j'ai été favorisé de vos lumières et de vos grâces. Mais le sang que vous avez répandu pour moi m'encourage, et, en échange de mon repentir, il m'offre mon pardon. Oui, ô mon souverain Bien, je me repens de vous avoir méprisé ; je m'en repens de tout mon cœur. Pardonnez-moi et accordez-moi la grâce de vous aimer à l'avenir. Je ne vous ai que trop outragé jusqu'ici. Les années qui me restent à vivre ne seront plus comme autrefois de malheureuses années de péché. Je veux, ô mon Jésus, les employer uniquement à pleurer sans cesse les déplaisirs que je vous ai causés et à vous aimer de tout mon cœur, ô Dieu, digne d'un amour infini.

Ô Marie, mon espérance, priez Jésus pour moi.




DEUXIÈME POINT

Mais voulez-vous, chrétiens, voir encore mieux ce que vous êtes ? « Va-t-en au tombeau ! Dit saint Jean Chrysostome. Contemple la poussière, la cendre, les vers, et gémis amèrement » (S. Jean Chrysostome, A Théodore, liv. 1, n. 9, PG 47, 288 ; (SC 117, trad. J. Dumortier, p. 125)). Voyez ce cadavre. Comme il devient d'abord livide, et puis, d'une horrible noirceur. Bientôt il se couvre tout entier d'une sorte de duvet blanchâtre et hideux, pour se résoudre ensuite en je ne sais quelle matière infecte et repoussante qui s'échappe de toutes parts et qui donne naissance à une multitude de vers. Pendant qu'ils rongent les chairs, accourent quantité de rats qui s'acharnent aux flancs du cadavre et y pénètrent de tous côtés, afin d'en faire leur pâture. Déjà se détachent les joues et les lèvres, déjà tombent les cheveux ; voici paraître le tronc décharné, puis les jambes et les bras. Ainsi se consument toutes les chairs. Quand enfin les vers dévorants se sont détruits entre eux, il ne reste plus de ce cadavre qu'un squelette fétide. Encore va-t-il, avec le temps, perdre sa dernière forme, les ossements se séparant les uns des autres et la tête se détachant du tronc. « Voilà donc ce qu'est l'homme, un peu de poussière que le vent emporte de l'aire du moissonneur » (Daniel 2, 35).

Oui, le voilà ce brillant gentilhomme, qu'on proclamait le charme, l'âme de toutes les réunions. Entrez dans son appartement. Il n'y est plus. Vous cherchez son lit ? D'autres l'occupent. Ses vêtements, ses armes ? On s'en est emparé et tout est déjà partagé. Et lui ? Si vous voulez le voir, approchez de cette fosse, où vous ne trouverez plus qu'un peu de pourriture et quelques ossements décharnés. Mon Dieu ! De ce corps nourri avec tant de délicatesse, orné avec tant de recherche, escorté de tant de serviteurs, voilà donc ce qui reste ! Ô saints du ciel, vous l'aviez bien compris, vous qui, pour l'amour de ce Dieu, l'unique objet des affections de votre cœur, étiez si ingénieux à mortifier votre chair !

Maintenant vos ossements se conservent enchâssés dans l'or, et nous les vénérons comme autant de reliques sacrées ; vos âmes glorifiées jouissent de Dieu, en attendant le jour de la résurrection, ce grand jour où votre corps, associé pendant la vie aux souffrances de l'âme, entrera en participation de sa gloire. Ah ! Voici bien pour l'homme la vraie manière d'aimer son corps : le charger de souffrances ici-bas afin qu'il jouisse plus tard d'un bonheur éternel, et lui refuser tous les plaisirs qu'il devra payer tôt ou tard d'une éternité de tourments.


AFFECTIONS ET PRIÈRES

Tel est donc, ô Dieu, le sort réservé à mon corps, à ce corps que j'ai aimé au point de vous offenser pour lui faire plaisir. Un amas de vers et de pourriture ! Mais, Seigneur, ce n'est pas là ce qui m'afflige. Je me réjouis au contraire qu'elle doive un jour se corrompre et se consumer, cette chair malheureuse, car c'est pour l'avoir trop aimée que je vous ai perdu, vous, mon souverain Bien. Ce qui m'afflige, c'est de vous avoir tant offensé, et cela pour de si misérables jouissances. Cependant je ne veux pas me défier de votre miséricorde. « Le Seigneur attend, afin de pardonner » (Isaïe 30, 18) a dit votre Prophète. Vous ne m'avez donc attendu que pour m'accorder le pardon ; et si j'ai un vrai repentir, le pardon sera complet. Ô Bonté infinie ! C'est de tout mon cœur que je me repens de vous avoir offensée. « Plus de péchés, vous dirai-je avec sainte Catherine de Gênes ; non, mon Jésus, plus de péchés » (C. Marabotto – E. Vernazza, Vita, ... di S. Caterina Fiesca Adorna, Padoue, 1743, pp. 7-8).

Je ne veux pas attendre, pour me jeter dans vos bras, que le prêtre applique votre image sur mes lèvres mourantes. Je me jette maintenant entre vos bras. « Maintenant je vous recommande mon âme et je la remets entre vos mains » (Psaume 30, 7). Trop longtemps elle appartint au monde et vous refusa son amour. Ah ! Donnez-moi lumière et force pour que je vous aime jusqu'à mon dernier soupir. Non, je ne veux pas attendre, pour vous aimer, que je sois sur le point de mourir. Dès maintenant je vous aime, je me jette entre vos bras, je m'unis étroitement à vous et je vous promets de ne plus jamais vous abandonner.

Ô Vierge sainte, unissez-moi étroitement à Jésus Christ et faites que je ne le perde plus jamais.



TROISIÈME POINT


Mon cher frère, dans cette peinture de la mort voyez ce que vous êtes et ce que vous deviendrez. « Souvenez-vous que vous êtes poussière et que vous retournerez en poussière » (Genèse 3, 19). Oui, songez que, dans peu d'années, peut-être dans quelques mois, dans quelques jours, vous ne serez plus qu'un amas de vers et de corruption. Cette pensée fit de Job un saint : « J'ai dit à la pourriture : tu es mon père ; et aux vers : vous êtes ma mère et ma sœur » (Job 17, 14).

Tout doit finir ; et si, à la mort, votre âme se perd, tout sera perdu pour vous. « Considérez-vous comme déjà mort, dit saint Laurent Justinien ; aussi bien, vous êtes assuré qu'un jour, bon gré mal gré, il vous faudra mourir » (S. Laurent Justinien, Lignum vitae, tr. 12, c. 14, Opera, Venise, 1721, p. 54). Et si ce jour était arrivé, que ne voudriez-vous point avoir fait ? Maintenant donc que vous êtes en vie, songez qu'un jour viendra où vous serez mort. Le pilote, dit saint Bonaventure (S. Bonaventure (plutôt Guillaume de Lanicia, cf. Opera, t. 8, Quaracchi, 1898, p. CXI, n., 8), Diaeta salutis, tit 7, c. 1), se tient à l'arrière du navire pour le bien diriger. Ainsi faut-il, pour vivre saintement, se figurer sans cesse que l'on touche au terme de sa vie. En conséquence, dit saint Bernard (S. Bernard de Clairvaux, Sermons divers, sermon 12, n. 1-2, PL 183, 571 : « Rappelle-toi les origines de ta vie, sois attentif à son milieu, souviens-toi de ta fin. Les origines te rempliront de honte, le milieu de douleur, la fin de crainte. Souviens-toi d'où tu viens, et tu ne pourras que rougir. Réalise où tu es, et tu n'as plus qu'à gémir. Rappelle-toi où tu vas, et tremble » (éd. Cisterciensia, t. 1, trad. P.-Y. Emery, p. 122), songez à vos débuts dans la carrière, c'est-à-dire aux péchés de votre jeunesse, et rougissez ; considérez-en le milieu, c'est-à-dire les péchés de votre âge mûr, et gémissez ; regardez-en les dernières et les plus récentes iniquités, et tremblez ; mais aussi hâtez-vous de tout réparer.

Sainte Camille de Lellis ne se trouvait jamais devant une tombe sans se dire à lui même : « Si ces morts ressuscitaient, que ne feraient-ils pas pour la vie éternelle? Et moi qui ai du temps, que fais-je pour mon âme ? (S. Cicatelli – p. Dolera, Vita del B. Camillo de Lellis, Rome, 1742, p. 228). C'était par humilité que le saint parlait de la sorte. Mais vous, mon cher frère, n'avez-vous aucune raison de craindre que vous ne soyez ce figuier stérile dont le Seigneur disait : « Voici trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier ; et je n'en trouve pas? » (Luc 13, 7). Il y a bien plus de trois ans que vous êtes au monde. Or quels fruits avez-vous portés ? Remarquez, dit saint Bernard (S. Bernard de Clairvaux, Sermon 51 sur le Cantique des Cantiques, n. 2, PL 183, 1025 : « Il n'y a pas plus d'œuvre sans la foi que de fruit sans fleur. Mais d'autre part la foi sans les œuvres est morte, comme s'épanouit en vain la fleur qui n'est pas suivie de son fruit » (BEG, p. 539), que le Seigneur ne réclame pas seulement les fleurs, c'est-à-dire de bons désirs, de bons propos, il veut encore des fruits, les fruits des oeuvres saintes. Sachez donc mettre à profit tout le temps que, dans sa miséricorde, Dieu veut bien vous accorder encore.

N'attendez pas pour faire le bien que vous soyez réduit plus tard à soupirer après un peu de temps, alors qu'« il n'y aura plus de temps » (Apocalypse 10, 6) et qu'il vous sera dit : Proficiscere (Rituel romain, Prière de la recommandation de l'âme) : Partez et hâtez-vous, voici le moment de sortir de ce monde. Oui, partez : ce qui est fait est fait.


AFFECTIONS ET PRIÈRES

Me voici, ô mon Dieu. Hélas ! Je suis cet arbre stérile qui depuis tant d'années mérite que vous prononciez la sentence fatale : « Coupez-le ; pourquoi occupe-t-il encore la terre ? » (Luc 13, 7). Car depuis tant d'années que je suis au monde, je ne vous ai rapporté d'autres fruits que les ronces et les épines de mes péchés. Mais, Seigneur, vous ne voulez pas que je désespère. Vous nous avez dit à tous que quiconque vous cherche, est sûr de vous trouver : « Cherchez et vous trouverez » (Matthieu 7, 7). Je vous cherche, ô mon Dieu, et je soupire après votre grâce, je déteste de tout mon cœur les péchés que j'ai commis et je voudrais en mourir de douleur. Par le passé, je vous ai fui, ô mon Dieu ! Mais maintenant j'estime votre amitié bien plus que tous les royaumes du monde. Non, je ne veux plus résister à vos invitations. Vous me voulez tout entier à vous ; et moi, je me donne à vous entièrement et sans réserve. Sur la croix vous vous êtes donné tout à moi ; me voici tout à vous.

Vous nous avez dit : « Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai » (Jean 14, 14). Plein de confiance dans cette promesse, je vous demande, ô mon Jésus, en votre nom et par vos mérites, votre grâce et votre amour. Ah ! Soyez béni de m'avoir porté à vous adresser cette prière ; et puisque vous me l'inspirez, nul doute que vous n'ayez l'intention de l'exaucer. Oui, mon Jésus, exaucez-moi ; donnez-moi un grand amour pour vous ; donnez-moi le courage de réaliser ce désir.

Et vous aussi, ô Marie, ma puissante avocate, exaucez-moi ; priez Jésus pour moi.





Écoutez ce sermon et cette prédication sur le Principe et fondement : L’homme est créé pour louer, révérer et servir Dieu, de l'Abbé Vérité.


Lire "Je me suis réjoui parce qu'on m'a dit : Nous irons dans la Maison du Seigneur" du R.P. Noël Barbara.


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